Dans la ville les corps qui marchent, racontent.
Furtifs passants, inconnus croisés.
Ville de soleil et rues tendancieuses. Y déambuler.
Promesses de passé
Souhaits de futur – ou plutôt d’à venir.
Ils sont là, marchant ou immobiles, les passants.
Ils m’ont offert leur complicité volée.
Car ils me chuchotaient tous, même sans nous connaître :
« Soupçonne-moi du meilleur. »
Une réponse à “En passant (âmes marseillaises)”
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ville d’êtres. Merci.





































































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